Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 9 ans
Je viens juste d’avoir 18 ans et avec mes potes de formation, nous effectuons, en car, un voyage organisé en autobus.
Je suis assis sur la banquette du fond, contre la vitre. Le directeur, Monsieur Jean est venu s’asseoir à côté de moi et à son côté, l’animateur en informatique, Monsieur Daniel, suivis par d’autres jeunes. Pour faire de la place à un dernier arrivant, nous avons du nous serrer.
Je m’appelle Marc, je ne suis pas très grand (1m72) mais assez musclé. Il fait beau et nous avons un peu chaud. Monsieur Jean, qui a ôté sa veste depuis un moment, a remonté les manches de sa chemise et a fini par déboutonner le haut, laissant apparaître une toison abondante. C’est un bel homme dans la cinquantaine, brun de poil, bis de peau.
Au rythme des chaos de la route, le genou de Monsieur Jean, se frotte au mien. Je suis collé à lui, mais cela ne me déplait pas. Pour le moment il lit son journal. S’adressant à Monsieur Daniel, il se plaint de la chaleur. Nous avons pris du retard et la nuit commence à tomber, enveloppant le bus dans la pénombre.
Monsieur Jean déboutonne complètement sa chemise. Il a maintenant le journal posé sur ses genoux et sa main gauche caresse doucement son entre jambes. Tout en regardant droit devant lui, je sens sa main caresser ma cuisse. Le bout de mes doigts se posent sur elle et cette main m’attrape fermement la mienne, tandis qu’à présent il me regarde droit dans les yeux. Je me laisse faire et il me guide sur sa braguette. De l’autre main il dégrafe son pantalon et baisse la tirette. Monsieur Daniel qui a vu le manège sourit béatement.
Il a pris le journal l’a ouvert et le tien de manière à ce que ses voisins ne peuvent rien voir. D’ailleurs bon nombre sommeillent déjà. Sous mes doigts je sens quelque chose de doux et mou mais d’énorme. Je caresse du bout des doigts. La bête se gonfle et durci. Le long prépuce se retrousse et je sens un gland humide et gigantesque apparaître. C’est fabuleux ! Le gland est plus gros qu’un œuf de poule et le manche doit faire 26 cms. Monsieur Jean, me dit doucement, mets toi à genoux et suce moi, si tu veux finir tes études et que tout se passe bien. J’hésite et il met sa main droite derrière ma nuque et fermement il appui. Je me glisse donc à genoux, entre les cuisses de Monsieur Jean. Le monstre que j’ai à présent sous le nez, me nargue et coule abondamment.
« Lèche ! » dit-il doucement. Je m’exécute à petit coups de langue.
« Embrasse l’objet de ta vénération ! » Là aussi j’embrasse.
« Gobe ! » Je regarde d’un air circonspect ce gros gland et cette queue majestueuse et épaisse.
« J’ai dit, gobe ! »
J’ouvre la bouche en grand et le gland s’enfonce. J’étouffe. Je suçote le gros bonbon tout en caressant et en soupesant les grosses valoches qui pendent derrière. De mon autre main, je fais monter et descendre la peau tout le long du manche. Du coin je vois que Monsieur se caresse tout en matant. Au bout d’un moment Monsieur Jean raidit ses jambes. Je sens sa queue vibrer entre mes lèvres et je reçois en 7 ou 8 jets abondants le fruit de sa jouissance. Je ne peux pas me dégager et je suis obligé d’avaler comme je peux. Du jus coule à la commissure de mes lèvres Monsieur Jean le ramasse du bout du doigt.
A présent j’ai toujours cette superbe queue dans la bouche. Elle ne coule plus et commence à se dégonfler Monsieur Jean la retire de ma bouche et la laisse mollement couchée sur sa cuisse. Avant que je me relève, Monsieur Jean me dit de baisser mon froc et mon slip et de m’asseoir sur sa main, qu’il pose à ma place. Je m’exécute et je sens le médius de Monsieur Jean chercher un passage entre mes fesses et s’insinuer dans mon anus. A présent sa queue s’est recouverte de son prépuce. Je dois avoir les yeux qui brillent et je bande à mort. Au bout d’un long moment, Monsieur Jean me demande de me rhabiller car nous allons arriver au centre d’hébergement.
FORMATION -2
En descendant du bus, je suis inquiet de la réaction de mes copains, mais personne n’a l’air d’avoir vu quoique ce soit. Arrivé au centre d’hébergement, nous sommes accueilli par la chef de centre, Monsieur Aimé, un grand black tout en muscle dans son tee-shirt moulant, pantacourt et tongs. Je lui donnerai 35 ans. Il nous indique les règles de conduite du centre et nous dit que les étudiants coucheront au second étage, les animateurs au premier et que les différentes autres salles sont au rez-de-chaussée.
D’un geste de la main, il fait signe de prendre l’escalier et mes potes s’y dirigent en rigolant. Je m’apprête à les suivre quand j’entends la voix de Monsieur Jean qui me dit « tu restes ici Marc ! ». Monsieur Aimé se retourne et me regarde en souriant. S’adressant à Monsieur Jean il dit « C’est lui Marc dont vous m’avez parlé ? ». Monsieur Jean répond, « oui exactement ! »
Monsieur Aimé me regarde des pieds à la tête et un sourire, laissant apparaître une dentition blanche et superbe. Suis-moi, je vais te conduire à ta chambre ! » me dit il.
Il me fait entrer dans la chambre et me dit, « installe toi et couche toi, bonne nuit ! ». Il sort et j’entends que ma porte se ferme à clé. Trop fatigué je fais comme il m’a dit et une fois couché, la lumière s’éteint toute seule. Dans l’obscurité je pense encore à ces derniers moments dans le bus.
Pourquoi me suis-je laissé faire par Monsieur Jean ? Pourquoi Monsieur Daniel, qui a tout vu n’a rien dit ? Certes Monsieur Jean est bel homme et il est vrai que j’ai un faible pour les hommes, surtout les murs, mais jusqu’à présent je n’ai jamais eu de relations homosexuelles.
Certes j’ai parfois acheté des revues homos ou regardé des vidéos pornos gays mais de là à prendre une queue dans la bouche, à avaler le foutre, à me laisser travailler mon anneau, ça non jamais. Des larmes coulaient doucement de mes yeux et je m’endormis.
Une sonnerie me tira de mon sommeil. Je pris ma douche et me décidais à sortir en vue d’aller prendre mon petit déjeuner et décidé à ne plus penser aux « incidents » de la veille. Tournant la poignée de la porte je fus, tout à coup, surpris qu’elle s’ouvrit. Monsieur Aimé qui était dans le couloir, en débardeur de couleur rose, faisant ressortir sa musculature impressionnante et une toison courte et frisée, noire comme ses cheveux coupés très courts, presque rasés. Il était en short ultra court mettant en relief une grosse bosse à son entre jambe et, il me salua. Il n’avait pas oublié mon prénom et il m’invita à me rendre au réfectoire. Chacun avait sa place indiquée par son nom et prénom gravés dans le rond de serviette.
Ma place était en bout de table face à la table de la direction qui était à angle droit par rapport aux tables des participants et à laquelle se sont assis d’autres personnes qui ne nous ont pas été présentées. Les serveurs étaient tous des mecs d’origine nord-africaine ou noire, tous plus mignons et sexy les uns que les autres. Le directeur, Monsieur Jean nous fait un discours, précisant les règles de discipline, assez stricte, les différents horaires et l’ordre dans lequel allait se passer les choses. De là, direction les cours.
En fin de matinée, on nous remet une convocation à une visite médicale et Monsieur Aimé me dit que le directeur veut me voir après le repas et qu’il m’amènera à son bureau. Effectivement, après le déjeuner, Monsieur Aimé vient me chercher et m’introduit dans le bureau de Monsieur Jean. Monsieur Daniel est là aussi avec un journal sur les genoux.
Monsieur Jean ne me propose pas de m’asseoir donc je reste debout. Il me demande si je suis bien installé et satisfait de ma chambre. Je réponds que oui et lui dit qu’hier soir, à mon grand étonnement ma porte a été fermée à clé mais je pense qu’il s’agit sans doute d’une maladresse. Monsieur Jean, me regarde fixement, le regard froid.
« Pas du tout ! » me répond-il, « tu es à moi et à personne d’autre ! J’ai été satisfait de ta prestation d’hier et je vais te prendre en main ! ».
Je bafouille « Mais Monsieur Jean, je ne veux pas…. Je…… ! ». Un cinglant « ta gueule ! C’est hier qu’il fallait protester. Tu ne l’as pas fait, c’est que tu es un petit PD et je t’ai choisi ! Tu vas voir, tu vas aimer ta formation ! » Et, il part d’un grand rire.
Je suis abasourdi !
Sur ce il recule son siège et je découvre que sa queue est sortie, bandante et lâchant de longs fils de mouille. « Allez, vient nettoyer tout ça avec ta bouche délicieuse ! ». Je m’approche quand même et lui répond « Excusez moi Monsieur Jean, mais je ne peux pas ! » Un coup de roseau cinglant me marque la main. Je pleure, je tremble et Monsieur Jean hurle «EXECUTION ! ».
Je n’ai pas d’autre choix que de me mettre à genoux et de lécher ce gland, pourtant sublime. Je bande malgré tout, j’avale le gland et très vite Monsieur Jean me largue sa purée copieuse au plus profond de ma gorge. « AVALE ! » et avec un haut le cœur je m’exécute. « Tu vas t’y habitué, ce sont tes vitamines ! ». Puis il ajoute : « tu as remarqué la présence de Monsieur Daniel ? lui qui hier est resté sur sa faim … vas près de lui ! ».
FORMATION -3
Certains ricanent et un grand gaillard un peu meneur s’approche et me demande où j’étais cet après-midi. Je lui réponds que j’étais en cours avec eux, mais que j’ai été distrait et que je n’ai pas suivi. Il me dit : « oui tu étais chez le directeur et ensuite chez le toubib. Tu as apprécié ? » et, « Pourquoi as-tu un traitement de faveur ? Une chambre à part ? ». Décontenancé je rougis et de rage je quitte la pièce. Une fois dans couloir quelqu’un m’appelle. Je me retourne. Un gars vient vers moi avec une liasse de papier à la main. « Je m’appelle Paul ! ».
« Moi Marc ! ».
« Oui je sais ! ».
Paul est plus petit que moi, un visage juvénile, petit blond comme un angelot, tout en rondeur, avec un regard très doux et un peu désemparé. Tiens voilà le cours de cet apm. « Merci ! ».
Il me dit qu’il pense qu’il y était avant moi chez le médecin. Je lui demande si c’est lui que j’ai entendu gémir. Il me répond qu’il ne sait pas s’il a gémi mais il est sûr d’avoir dormi. Il trouve cela bizarre et il est inquiet. Il me relate des attitudes et des regards, voire des gestes bizarres à son encontre. Je lui dis qu’il peut venir me voir dans ma chambre quand il le veut. Il me remercie et me demande de me méfier du grand qui m’a envoyé paître dans la chambrée. Ce mec est déjà venu ici et à cette époque il était le favori. A part ça il ne voulait pas dire autre chose, mais ce qui est certain, c’est qu’il est jaloux. Il ajoute qu’il se prénomme Richard.
Je le remercie de nouveau et nous nous séparons. Je regagne ma chambre avant le dîner. Monsieur Jean, appelle Monsieur Aimé et lui demande de me faire changer de chambre le soir même. Le dîner se passe dans le calme et pour moi sous l’œil inquisiteur de Monsieur Jean et de Monsieur Daniel.
A la sortie du réfectoire Monsieur Aimé, me demande de le suivre. Que va-t-il encore m’arriver. Monsieur Aimé ouvre une porte et me fait entrer dans un salon. « Ceci est ton nouvel appartement ! ». Je suis sidéré tant c’est confortable. Il pousse une autre porte et me dit « Ta chambre ! », une autre porte « ta salle de musculation ! », une autre encore, « ta salle de bain ! ». Je lui demande « Et mes affaires ? ». Monsieur Aimé me répond que pendant que je dînais le personnel les a transférer ici.
Monsieur Aimé sort et ferme la porte à clé.
Je préfère ne pas penser et je commence à lire les notes de Paul. Paul qui devait venir me rendre visite, mais il n’a peut-être pas conscience que cet appartement existe. Là je me rends compte que mon formateur voulait me voir et que j’ai complètement zappé. Au bout d’un moment mon attention est attirée par quelque chose qui bouge au plafond. C’est une caméra et on m’observe. Je fais le tour de l’appartement et je constate qu’il y en a partout.
Je me douche et je vais me coucher. Heureusement car la lumière s’éteint brusquement. Il n’y a pas de réveil lumineux et je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, de plus j’ai l’impression d’avoir perdu mon portable. Dans mon demi-sommeil, je me rends compte que mon anus est un peu douloureux. Je m’endors enfin et dans la nuit je rêve aux moments passés dans le car, puis dans le bureau de Monsieur Jean et la visite médicale du docteur Alexandre m’excite, mais je ne sais pas pourquoi. Je me réveille à cause d’une grosse érection et je fini par jouir dans mes draps. Au matin, je suis réveillé par la lumière qui vient de s’allumer.
Je vais ma toilette et je m’habille. La porte est ouverte. J’ai faim, je sors de ma chambre, et je tombe sur Monsieur Aimé qui me dit que Monsieur le directeur veut me voir. Je lui dis : « après le petit déjeuner ? ». Il me répond : « non de suite ! ».
Qu’est ce qu’il va encore m’arriver, j’en ai la chair de poule. J’arrive à sa porte, je frappe et un sonore « entrez ! » se fait entendre. "Bonjour Marc !, comment vas-tu ce matin ?, en forme ? ton appartement te plait-il ?, j’ai pensé que ce serait plus confortable pour toi ! ». Monsieur Jean s’est levé, il est en robe de chambre. Il me demande de m’asseoir. « Il n’y aura pas de petit déjeuner pour toi ce matin, j’ai pensé que tu avais besoin de vitamines ! » et ce disant, il s’approche et écarte un pan de son peignoir. Sa queue encore molle pend presque jusqu’à son genou. Les couilles sont très grosses et extrêmement pendantes.
« Prend-là dans ta main ! » j’hésite et je reçois une baffe qui me tire les larmes des yeux. « EXECUTION ! » hurle-t-il. Je m’exécute donc. Je me dis que le mieux que j’ai à faire c’est de me montrer un peu zélé, même si j’ai très peu d’expérience en sexe. Je prends donc cette trompe dans une main qui n’arrive pas à en faire le tour, et de l’autre je soulève les deux boules.
« C’est bien ! » me dit-il. "Tire la peau en arrière doucement ! ». Je m’exécute. Je queue commence déjà à durcir. Le méat apparaît comme un œil qui me regarde. Je décalotte encore un peu un long filet de mouille s’épandre du méat. Monsieur Jean le recueille sur un doigt et me le donne à sucer. « On ne va pas perdre de la si bonne marchandise ! » dit-il.
Maintenant le gland est presque entièrement décalotté. L’érection de Monsieur Jean est presque entière. Le gland énorme se pousse en avant et le prépuce glisse de lui-même derrière l’ourlet. Je dois reconnaître que cette érection est magnifique et que cette bite est superbe. « tu sais ce qu’il te reste à faire ? » me dit-il.
Je picore le gland, lèche la mouille maintenant abondante. J’essaie d’ouvrir la bouche le plus grand possible et Monsieur Jean enfonce son gland dedans. Il pousse ensuite sa queue le plus loin possible. J’ai des hauts le cœur, mais ce n’est pas pour autant qu’il se retire. « Respire par le nez ! » me dit-il. Les hauts le cœur se calment. « Ta luette est entrain de me chatouiller le méat ! C’est génial ! » me dit-il.
Puis, après un petit moment Monsieur Jean me prend par les oreilles et me baise la bouche pendant un bon quart d’heure. De nouveau je sens sa queue vibrer et je vois ses couilles remonter. Dans un rugissement Monsieur Jean m’envoie six ou sept jets de jus copieux et odorants que je ne peux qu’avaler. La dose est tellement copieuse qu’un de sperme coule à la commissure de ma lèvre et tâche le col de mon polo noir. Monsieur Jean se retire et me donne une petit tape sur la joue. « Tu vois bien que çà se passe mieux quand tu es docile ? Nous allons faire quelque chose de toi ! ». Il me pince le menton et m’embrasse sur les lèvres.
« Désormais ce sera ton petit déjeuner quotidien ! ».
FORMATION -4
« Tu peux aller en cours, si le formateur te dis quoique ce soit tu lui diras que tu étais avec moi, il comprendra ! » Je rougis de honte et avant que je ne sorte il dit : « putain j’ai encore envie, je ferai bien appel au petit Paul ! ». Je suis abasourdi. Quoi Paul y passe aussi ? C’est sans doute de cela dont il voulait me parler.
En entrant dans la salle de cours tous les regards se tournent vers moi. Je prends les devants en disant que je sors de chez le Directeur. Il me répond qu’il s’en doute et sa joue et pointe son col. Là je me souviens du sperme sur mon col et je suppose que ma joue doit être marquée des doigts de Monsieur Jean. J’essuie le sperme et je regarde le sourire goguenard du meneur.
Pendant le cours je rédige un mot pour Paul. Je lui demande si lui aussi ? Au moment de la pause je croise Paul et lui glisse furtivement mon mot. En entrant dans le réfectoire pour le déjeuner, à son tour, Paul me glisse un mot disant que oui avec un smillai avec une larme.
Après le déjeuner, Monsieur Aimé me dit que Monsieur le Directeur veut me voir. Je le trouve assis à son bureau, très énervé, mon formateur dans un fauteuil. Il me demande sèchement : « qu’as-tu fais cette nuit salope ! ». Je suis abasourdi.
« Ne me ment pas, l’homme de ménage quand il a fait ton lit a bien vu, et je suis au courant de tout ! ».
« Pas de ça ici ! Pour le moment seul ta bouche doit être la source de plaisir, ensuite, nous verrons plus tard ! ».
« Comme tu n’étais pas informé, tu ne seras pas puni pour cette fois, mais ne t’avise pas de recommencer ! »
« A genoux ! »
« A vous Monsieur Richard ! »
Monsieur Richard se lève et s’approche de moi. Il dégrafe son pantalon qui tombe à ses genoux et d’une main derrière la tête, il m’oblige à renifler son slip, qui dégage une forte odeur de male.
« Sors là ! ».
Je mets une main dans son slip et sort sa queue qui est grosse et épaisse mais pas comme celle de Monsieur Jean, qui nous mate et est occupé de se branler tout en s’approchant de nous.
« Suce ! ». Je prends son chibre en bouche. Lui s’enfonce. Ma langue tourne autour de son gland et titille son méat.
« Quelle bonne suceuse ! »
« Oui, il faut reconnaître qu’il fait ça bien ! ».
Bien vite Monsieur Richard commence à râler, et je reçois un premier jet sur la langue. J’essaie de me dégager mais il me maintient la tête, d’autres jets m’inonde la bouche tandis que Monsieur Jean qui rugit une nouvelle fois m’envoie de longs jets de sperme sur le visage et sur mon polo. Quand j’ai terminé d’avaler Monsieur Richard, Monsieur Jean me tend sa bite et me demande de vider le reste. Je m’exécute et j’en ai quand même plein la bouche.
Monsieur Jean m’essuie le visage, visage, mais m’interdit de nettoyer mon polo et m’accompagne en salle de formation. Quand j’arrive tout le monde rit de ma situation mais Monsieur Richard ramène le calme très vite. Encore une fois je suis très gêné et mal à l’aise.
En fin d’après-midi le sperme est séché mais l’odeur est forte. On nous dit de regagner nos chambres avant le dîner.
Monsieur Aimé se trouve là et m’accompagne jusqu’à la mienne. En chemin je lui demande : « que se passe-t-il ici Monsieur Aimé ? Je suis désemparé je ne sais que penser et j’ai l’impression de devenir fou ! Vous me semblez sympa, répondez moi s’il vous plait ! ».
Monsieur Aimé me dit en se caressant le paquet : « Tu as plu à Monsieur Jean, qui t’a pris en mains. Fait ce qu’il te demande et ne te pose pas de question. Suivi ses recommandations à la lettre et ton avenir est tout tracé. Tu seras bien et tu n’auras plus aucuns soucis ! ».
Monsieur Aimé me fait entrer, et referme la porte à clé.
J’en profite pour prendre une douche et changer de polo. Mon lit a effectivement été refait et mon linge sale a été lavé, repassé et rangé. Pour le dîner, Monsieur Aimé vient me rechercher. En chemin, il me demande si j’ai déjà été enculé. Je le regarde estomaqué et il me dit : « tu n’as pas à te sentir gêné tu sais, moi je l’ai déjà été et j’ai déjà, aussi, enculé. Alors ! ». Je lui réponds : avec mon doigt ! ». Il a l’air satisfait.
Après le dîner on nous autorise à nous balader dans le parc. Je pense en profiter pour m’enfuir, mais j’y renonce. Du regard je cherche Paul. Il est là bas. Mine de rien, je m’en approche. A quelques mètres de lui je m’arrête et je l’appelle. Il se retourne, me sourit, et veux venir vers, moi. Il a pleuré. Tournant le dos au bâtiment, je lui demande : « que se passe-t-il ? ! ».
« Si tu savais ? » me répond-il.
Et il m’explique que le Directeur l’a fait venir dans son bureau et lui a demandé de se mettre nu. Comme il a rechigné il s’est fait gifler. Une fois nu, le Directeur à peloter ses rondeurs, les a pincées, puis il lui a demandé de caresser sa queue qu’il avait sortie. Comme il a refusé, il a été giflé sur l’autre joue et pour finir il a reçu le martinet. Ses fesses sont lacérées. Il s’est donc exécuté. Ensuite il lui a demandé de le sucer et d’avaler et il lui a mis un doigt dans l’anus. « Et toi ? ».
Je lui ai répondu, mais sans vouloir l’affoler, que j’avais dû le sucer aussi. J’essai de lui remonter le moral et la sonnerie se faisant entendre nous regagnons les bâtiments. Monsieur Aimé m’attend et me raccompagne dans mon appartement. A peine entré comme toujours la porte est fermée derrière moi. Découragé, j’ouvre mon lit et je découvre une enveloppe ; que j’ouvre et que je lis.
Marc,
Je t’ai choisi, et j’ai décidé de te prendre en main. Sois docile et zélé à tout point de vue et tu iras très loin. Toutefois le peu que tu as connu n’est rien en comparaison du fabuleux destin que pourra être le tien. N’oublie pas ton petit déjeuner !
Monsieur Jean, Directeur.
Je me couche, et au bout d’un moment la lumière s’éteint.
FORMATION -5
Je pense à Paul. Ça doit être dur pour lui surtout s’il n’a pas, comme moi de penchant homosexuel ! Et moi, pourquoi est-ce que je reste ici ? Pourquoi est-ce que je ne me sauve pas ? Serai-je soumis ? Et si ce que j’ai connu ces derniers jours, n’est rien au regard de ce qui m’attend, que me réserve l’avenir ? Et pourquoi si cela me répugne, j’ai quelque part pris du goût à ses fellations sous contraintes. Enfin pourquoi mon attirance pour Monsieur Aimé ? Je suis épuisé par toutes ces questions et je sombre dans un profond sommeil. Au petit matin, je suppose, une érection douloureuse me réveille. Je n’ai pas le temps de la constater que je jute dans les draps et je tombe de nouveau endormi.
Je suis réveillé par la lumière. Je me lève et passe dans la salle de bain et m’habille. Le verrou n’a pas été ôté. Tout à coup, la porte s’ouvre et Monsieur Aimé me dit : « votre petit déjeuner, Marc ! ». Résigné, je le suis.
Je frappe à la porte de Monsieur Jean qui me dit d’entrer.
« Bien dormi, Marc ? ».
« Oui Monsieur, merci ! ».
« A poil mon grand ! ». Monsieur Jean enlève sa robe de chambre, il bande déjà, il s’allonge sur le canapé et je m’exécute. Il me demande de m’installer à califourchon au dessus de lui en lui tournant le dos. Là encore je m’exécute. « Suces ! ». Je me penche et prend sa queue en bouche. Elle entre de plus en plus facilement. Derrière moi, Monsieur Jean écarte les fesses et de son index caresse mon anus. Avec quatre doigts, il le comprime, le distant, puis le lèche, le suçote, essaie d’y introduire sa langue. Il est tellement excité qu’il me largue tout son jus que j’avale aussitôt.
Monsieur Jean se relève et essuie sa queue dans mes cheveux avec ordre de ne pas m’essuyer de la journée. Je me rhabille et par en cours. Pour une fois, je ne suis pas en retard.
En entrant dans la salle de cours Monsieur Richard, sourit et en me regardant se caresse les cheveux. Il a vu et il a compris. Une nouvelle fois, je suis rouge de honte et tout le cours rit doucement. Après le déjeuner, Monsieur Aimé vient me chercher. Il me dit que le Directeur m’attend. Que ce passe-t-il encore ? Cette fois Monsieur Aimé entre avec moi.
Il était beau dans son mini short qui lui moulait une jolie petite paire de fesses et une bosse proéminente sur le devant. Monsieur Jean est assis sur le coin de son bureau. Il a l’air furieux.
« Alors Marc, malgré mon avertissement d’hier on s’est branlé et on a juté cette nuit ? ».
Je proteste : « Mais non Monsieur le Directeur, je vous jure, je n’ai rien fait ! ».
« Oh le menteur ! Allez à poil ! ».
Monsieur Aimé commence à m’enlever mon tee-shirt. J’enlève le reste. Monsieur Jean lui demande de s’asseoir et à moi il m’ordonne de me mettre devant, d’écarter mes jambes et de me baisser en avant. Monsieur Aimé, me prend la tête entre ses cuisses et me tient les poignets. On frappe à la porte. « Entrez ! » Quelqu’un entre. Je reçois un coup cinglant qui me fait hurler de douleur. Monsieur Jean a pris un martinet et m’en cingle les fesses. « Et de un ! ». Arrivé à dix, il dit : « pour avoir juté cette nuit ! ». Je sens contre mon crâne le sexe durci de Monsieur Aimé. Je pense que c’est terminé, mais un nouveau coup me cingle de nouveau. « Et de un ! ». De nouveau arrivé à cinq, il dit : «Voilà pour avoir menti ! ».
Il me demande alors de me mettre à genoux. Je pleure, de douleur, mais il n’en a rien à faire.
Il sort sa grosse queue bandée et me fourre son gland monstrueux dans la bouche. Docilement je suce. Brusquement il se retire et me dit que c’est Monsieur Aimé qui va me donner mon petit déjeuner ce matin. Ce disant Monsieur Aimé sort sa grosse queue noire, longue et épaisse, très veinée avec un gland rose. Curieusement elle est recourbée vers le haut. Il me la donne à sucer et je la prends bien volontiers en bouche. De ma main je caresse les grosses prunes qui pendent à l’arrière.
Monsieur Jean qui est passé derrière Monsieur Aimé, lui appui sur la nuque. Monsieur Aimé se penche en avant et Monsieur Jean passe son gland entre ses fesses et s’enfonce. Monsieur Aimé lâche un : « Han ! » indiquant que Monsieur Jean est dans son cul. C’est à présent ce dernier qui donne rythme. Monsieur Jean, lance un rugissement, annonçant sa délivrance et au même moment Monsieur Aimé se libère également dans ma bouche, me donnant un jus copieux, suave et très parfumé.
Monsieur Jean s’assied dans un fauteuil et dit : « allez viens-toi ! ». Là je me rappelle que quelqu’un est entré et a assisté à toute la scène. C’est le petit Paul, qui pleure doucement.
« Tu vois Marc, ici tout le monde m’obéît au doigt et à l’œil et personne ne résiste, sinon il le paie. Allez, rhabillez-vous ! ». Puis s’adressant à Monsieur Aimé il lui dit : « Aimé conduisez ce jeune homme chez le médecin ! ». Monsieur Aimé a de la difficulté à ranger sa grosse queue dans son mini short et il ne s’aperçoit pas que son gland sort par une jambe.
« Allez Paul, caresse moi, refait moi bander tout ça, car après ce sera ton tour ! ».
Je me sens humilié que Paul ait assisté à cette scène. Dans le couloir Monsieur Aimé avec un grand sourire me dit : « j’ai bien aimé tant devant que derrière ! » Je m’aperçois qu’il a du sperme qui coule derrière sa cuisse. Arrivé chez le Docteur Alexandre, celui-ci nous ouvre de suite et Monsieur Aimé entre avec moi.
« Avez-vous reçu les instructions du Directeur, Docteur ? ».
« Oui Aimé, ce sera pour ce soir ! Vous y assisterez et moi également ! »
Monsieur Aimé répond : « Déjà ce soir ? C’est tôt non ? ».
« Tu sais comment il est ? Impatient et il n’en a jamais assez ! ».
Monsieur Aimé ajoute : « Je viens d’être pris ! J’espère que tout ira bien ? ».
Le Docteur lève les yeux au ciel et rassure Monsieur Aimé puis me demande d’enlever le bas. Il inspecte les zébrures de mes fesses en poussant un « oups » de surprise. « Il a été fort !
De si jolies fesses ! ».
FORMATION -6
Le Docteur me désinfecte, puis me passe longuement une pommade qui me soulage, tout en pelotant les fesses et en les écartant de temps en temps. Puis il me demande de m’allonger. Il me dit qu’il va devoir m’attacher et me faire une petite injection pour me calmer et me détendre. Je proteste ! « Mais pourquoi m’attachez vous ? Vous allez encore m’endormir ? ».
Le Docteur répond : « Non Marc, détend toi, je t’assure c’est pour ton bien ! ».
Monsieur Aimé vient près de moi et me serre la main. Une fois attaché, poignet et cheville, le Docteur le fait la piqure. Effectivement je ne m’endors pas, mais je me sens reposé.
Le Docteur prend une boite sur une étagère. Je vois qu’il en sort des objets métalliques. Il choisi un anneau approprié dans lequel il passe mes couilles. Puis une espèce de tuyau dans lequel il passe ma verge. Brusquement je comprends ce qu’il se passe et j’essaie de me débattre. Monsieur Aimé essaie de me calmer.
Il me caresse les cheveux, puis se penche sur moi et m’embrasse sur la bouche. Je réponds à son baiser. Ses lèvres sont douces. Sa langue envahit ma bouche, nos langues se mélanges. J’entends un clic. « Voilà ! » dit le Docteur Alexandre en me détachant les chevilles tandis que Monsieur Aimé s’occupe de mes poignets. Je me lève et je regarde. On vient de me poser une cage de chasteté, et je crie : « mais c’est horrible !!!! Que m’avez-vous fait ??? Je n’ai que 18 ans !!! Je n’ai connu que la sexualité orale !!!! En plus comment je vais faire pour pisser ??? C’est ignoble ! ».
Le Docteur Alexandre me répond : « il y a un trou à l’extrémité, prévu pour cela. Il te faudra seulement uriner assis sur la cuvette, comme les filles, sinon tu vas en mettre partout ! ». Monsieur Aimé me prend dans ses bras. « Calme-toi petit !!! Ca va aller Tu as fait le mauvais choix ! Mais ça va aller ! ». Le Docteur Alexandre me dit : « tu sais petit, ça aurait pu être bien pire que ça ! ». Je lui demande ce qu’il entend par là et il me demande : « as-tu déjà entendu parler des eunuques ? ».
Monsieur Aimé me tend un pantalon ample serré aux chevilles et une paire de sandale, qu’il me demande de passer. Il me dit que je serai plus à l’aise avec ça. Puis il me raccompagne dans mes appartements. Le Docteur Alexandre lui donne une boite de pilules et lui recommande de m’en donner une toutes les heures.
Il entre avec moi. Je constate qu’une bibliothèque a été installée, remplie pour moitié de livres et pour l’autre de Dvd, un téléviseur et des jeux vidéo également. Il me recommande d’aller m’allonger, ce que je fais et Monsieur Aimé vient s’asseoir à côté de moi. Il me prend la main et me dit qu’il a été sensible à ma beauté, à ma jeunesse et qu’il veut s’occuper de moi. Malheureusement il ne peut pas me soustraire à la volonté de Monsieur Jean, mais il va tout faire, avec le Docteur Alexandre pour que mon avenir soit plus doux. Je lui dis que je ne suis pas insensible à son charme, et lui demande si nous nous reverrons à ma sortie de formation. Il ne me répond pas et je vois une larme poindre dans le coin de son œil.
Je vais te quitter Marc un moment, repose toi je reviens dans une heure avec un personne que je dois te présenter. Monsieur Aimé voit que je m’affole et il me demande de me calmer. A peine la porte refermée, je m’endors. Je me réveille car j’ai envie de pisser. Je me souviens qu’il faut que je le fasse assis. C’est dur de ne plus pouvoir tenir sa queue. Mes couilles comprimées par l’anneau sont proéminentes.
La porte s’ouvre et Monsieur Aimé entre, suivi d’un jeune maghrébin, environ 22, 23 ans, crane rasé, fine moustache noire, sourcils broussailleux et d’immenses yeux verts. Il est habillé à l’orientale. Boléro brodé, ouvert sur un torse finement velu. Il porte un sarouel et des babouches. Je remarque qu’il n’a pas de braguette. Son sexe assez long et épais pend à l’extérieur. A l’extrémité de son gland circoncis il y a un anneau, dans lequel est passé une chaînette qui passe entre ses fesses. Il a les yeux baissés. Monsieur Aimé, me dit : « Marc je te présente ton majordome. Il s’appelle Youssouf ! C’est lui qui va s’occuper de toi ! ».
-
Mais et vous Monsieur Aimé ? Je ne vous verrai plus ? ».
-
Mais si Marc, mais j’ai mon travail et je suis au service de Monsieur Jean ! ».
Je demande à Monsieur Aimé si cet anneau lui fait mal et à quoi il sert. Il m’explique que l’anneau n’est pas douloureux et que la chaînette l’empêche de bander. A départ Monsieur Jean lui avait posé, également, une cage de chasteté et comme il a été raisonnable il lui a enlevé et la remplacée par ce système, mais il faut dire qu’avec le temps Youssouf, ne doit plus pouvoir bander.
Il lui demande de se retourner et de se pencher en avant. Youssouf s’exécute et Monsieur Aimé lui baisse son sarouel. Je me rends compte qu’une ceinture métallique entoure sa taille et que la chaînette y est attachée. Entre ses fesses pend un cadenas. Je demande à Monsieur Aimé de quoi il s’agit. Monsieur Aimé écarte ses fesses et je vois la base que quelque chose munie de deux tiges, le tout en métal.
Il m’explique qu’il s’agit d’un butplug dilatable, munis d’un cadenas dont Monsieur Jean détient, seul, la clé. Ainsi la virginité de son cul est assurée. « Sais tu que jusqu’à ce jour Youssouf était attaché à la personne de Monsieur Jean. C’est un grand honneur que ce dernier te fait de le mettre à ton service ! ».
Puis Monsieur Aimé m’explique que Youssouf, va s’occuper de faire le ménage, ma toilette, de me servir mes repas, de me faire la lecture, de me tenir compagnie, qu’il dormira dans ma chambre etc… !
« Et vous Monsieur Aimé je ne vous verrai plus ? ».
« Je te promets que tu me verras au minium une fois par jour ! ».
Je demande s’il parle le français et Monsieur Aimé me répond que oui, mais qu’il est très discret et qu’il ne dira, ni ne fera, rien de contraire à ses consignes. Youssouf qui s’est absenté revient avec un chariot plein de vêtements et de chaussures. Pour la première fois j’entends sa voix. Il me dit : « je dois vous raser le crâne Monsieur ! ».
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